C'est en totale contradiction avec le dernier rendu du Conseil d'Etat pour le moulin du Boeuf qui indiquait que les moulins faisaient pleinement partie de la gestion équilibrée de l'eau, et ce, quelque soit la puissance du puissance du moulinMoulin Neuf49 a écrit : ↑06 mai 2019, 22:05 (page 18)
De même, il est essentiel de pondérer l’intérêt de la production hydroélectrique d’un projet au
regard de la part qu’elle représente dans l’atteinte des objectifs de la politique énergétique et des
impacts qu’elle engendre. Plus la puissance et la capacité de production de l’installation sont
faibles, plus les enjeux d’intérêt général liés à la restauration des milieux (reconquête de
biodiversité aquatique, du bon état, services rendus, préventions des inondations par restauration
de la rivière, etc.) doivent primer et moins le maintien des impacts liés au seuil et à la dérivation
éventuelle du débit se justifient. Il doit être tenu compte également du fait que les très petites
puissances ne répondent pas à l’enjeu essentiel de sécurisation du réseau électrique.
Je n'ai pas lu la circulaire mais au vu de vos commentaires, elle va également à l'encontre de la nouvelle directive européenne applicable en 2021 qui enjoint les administrations à simplifier les démarches pour les énergies renouvelables dont l'hydroélectricité, en particulier pour l'autoconsommation...