moulino51 Alors pourquoi Ducro il se décarcasse ?
Bah pour le coup, c'est juste histoire de comprendre comment on raisonne "hydrauliquement" face à une situation donnée.
ericnoharet a écrit :
Prenons les cas extremes :
1-Conduite totalement ouverte, donc debit maximum, mais pression nulle à la sortie. (puissance nulle)
2-Conduite bouchée, donc debit nul et pression maximum (puissance nulle aussi)
Entre les deux, il faut choisir un debit qui ne fait pas trop perdre de pression.
Quand vous parlez de conduite "totalement bouchée" ou "totalement ouverte", vous parlez de l'extrémité à z=0 où l'eau sort pour entrer dans la turbine (soit par exemple l'injecteur d'une Banki dans le cas présent) ?
Je n'arrive pas à me représenter ce que serait une conduite totalement ouverte à pression nulle à la sortie

(Je suis plutôt du genre totalement bouché...

) Dans les turbines à action de type Banki comme celle du site, je croyais de toute façon que les pales travaillaient à pression atmosphérique, donc que l'on cherchait surtout le plus grande vitesse et le meilleur angle
Pour faire plus simple, on peut oublier la Banki, la conduite de jc012 avec ses angles partout, idéaliser le cas en imaginant que l'on reprend à zéro, sans penser à l'équipement en place.
Conditions initiales du problème :
• On a un réservoir qui se remplit à 2,6 m^3/s en moyenne (avec un delta Q de remplissage qui va par exemple 0,5 à 6 m^3/s dans l'année)
• Le réservoir est à une altitude z = 10 m.
• On a une usine qui est à l'altitude z = 0 m
• L'usine est distante de 170 ml du réservoir.
Avec ces critères imposés, on recherche la solution optimale. Vous choisiriez quelle turbine, quelle conduite, pour quelle espérance de puissance ? Et avec quels critères d'optimisation pour minimiser la perte?