Re: Conception d'une turbine Banki pour le marché africain
Publié : 30 mars 2012, 22:00
il est possible qu'avec les conditions limites que tu ais définis et qui fonctionne pour un modèle, que le calcul converge assez vite et ne converge plus pour une autre géométrie.
en revanche.
le secret d'un bon rotor banki, c'est de limiter son coté énergivore.
cela, il est possible d'y arriver de façon purement analytique, sans faire d'éléments fini. par un programme..
En fait, lorsqu'on regarde les études (étrangère surtout), on remarque que le problème est surtout le choix du nombre d'aubes
et choix du rapport Diametre ext et diametre int.
choix du nombre d'aubes définit par le besoin de:
guider proprement l'eau vers les aubes coté sortie. je résume, plus on en met mieux c'est.
ne pas en perdre une goutte en entrée ( comme sur une pelton), là on a un déflecteur, c'est plus pratique mais il ne faut pas que l'eau dépasse l'aube( aille plus vite).
équilibrer entre les aubes l'énergie cinétique de l'eau. ( finalement comme le nombre de dents en prise dans un engrenage, plus il y en a, moins ca casse).
et puis la vitesse du flux définit par le diametre du rotor. ( comme une pelton).
Sauf que, plus on rajoute de chose pour améliorer le rotor, plus on le pollue, en augmentant la surface mouillée dans le rotor
et donc son rendement diminue...
evidément , je compte les surfaces de cloisonnement, les rigidificateurs, sur lesquels l'eau est contente de se gratouiller.
pour vos calculs
il est facile de programmer la flexion des aubes, effet foce centrifuge?, ( poutre sur appuis, les rigidificateurs et cloisons étant les appuis).
en fonction du matériau.
il est archi facile de programmer la surface mouillée.(toutes les surface en contact avec le flux avec un débit constant).
coefficient de rugosité de votre peinture bleu..
il vous faut trouver une doc sur les écoulements cloisonnée, ( il y a quelques pages superbes dans le vivier ou le varlet, si il ne les ont pas chez althom , je vous scane les pages).
la chute et le débit, et votre aire d'ouvertue sur le rotor vous donne les dimensions de votre cylindre exterieur, vitesse de l'eau etc, etc .
vous faites une mayonnaise de cela et normalement vous devriez trouvez le rapport surface mouillée/performance maxi.
et là, rien ne vous empeche de faire un peu mecaflux par éléments finis sur quelques 3D déjà dégrossis pour mettre un peu de couleur dans votre mémoire de stage.
Comme on dit, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis.
enfin (ou de nouveau) l'industrie française s'interesse à la banki.
S'il vous plait, pour les aubes, faites nous mieux que de l'arc de cercle coupé dans du tube puis chanfréné grossièrement et soudé par un aveugle.
Même les africains méritent mieux :(il y a des solutions de laminage très bon marché qui vous font de l'arc à double rayon.)
Bon courage à vous et bon stage.
en revanche.
le secret d'un bon rotor banki, c'est de limiter son coté énergivore.
cela, il est possible d'y arriver de façon purement analytique, sans faire d'éléments fini. par un programme..
En fait, lorsqu'on regarde les études (étrangère surtout), on remarque que le problème est surtout le choix du nombre d'aubes
et choix du rapport Diametre ext et diametre int.
choix du nombre d'aubes définit par le besoin de:
guider proprement l'eau vers les aubes coté sortie. je résume, plus on en met mieux c'est.
ne pas en perdre une goutte en entrée ( comme sur une pelton), là on a un déflecteur, c'est plus pratique mais il ne faut pas que l'eau dépasse l'aube( aille plus vite).
équilibrer entre les aubes l'énergie cinétique de l'eau. ( finalement comme le nombre de dents en prise dans un engrenage, plus il y en a, moins ca casse).
et puis la vitesse du flux définit par le diametre du rotor. ( comme une pelton).
Sauf que, plus on rajoute de chose pour améliorer le rotor, plus on le pollue, en augmentant la surface mouillée dans le rotor
et donc son rendement diminue...
evidément , je compte les surfaces de cloisonnement, les rigidificateurs, sur lesquels l'eau est contente de se gratouiller.
pour vos calculs
il est facile de programmer la flexion des aubes, effet foce centrifuge?, ( poutre sur appuis, les rigidificateurs et cloisons étant les appuis).
en fonction du matériau.
il est archi facile de programmer la surface mouillée.(toutes les surface en contact avec le flux avec un débit constant).
coefficient de rugosité de votre peinture bleu..
il vous faut trouver une doc sur les écoulements cloisonnée, ( il y a quelques pages superbes dans le vivier ou le varlet, si il ne les ont pas chez althom , je vous scane les pages).
la chute et le débit, et votre aire d'ouvertue sur le rotor vous donne les dimensions de votre cylindre exterieur, vitesse de l'eau etc, etc .
vous faites une mayonnaise de cela et normalement vous devriez trouvez le rapport surface mouillée/performance maxi.
et là, rien ne vous empeche de faire un peu mecaflux par éléments finis sur quelques 3D déjà dégrossis pour mettre un peu de couleur dans votre mémoire de stage.
Comme on dit, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis.
enfin (ou de nouveau) l'industrie française s'interesse à la banki.
S'il vous plait, pour les aubes, faites nous mieux que de l'arc de cercle coupé dans du tube puis chanfréné grossièrement et soudé par un aveugle.
Même les africains méritent mieux :(il y a des solutions de laminage très bon marché qui vous font de l'arc à double rayon.)
Bon courage à vous et bon stage.