attention, le passage en force contre la volonté des riverains peut engendrer des réactions regrettables
![Very Happy :D](./images/smilies/icon_e_biggrin.gif)
Bonne soirée
dB-)
C'est en totale contradiction avec le dernier rendu du Conseil d'Etat pour le moulin du Boeuf qui indiquait que les moulins faisaient pleinement partie de la gestion équilibrée de l'eau, et ce, quelque soit la puissance du puissance du moulinMoulin Neuf49 a écrit : ↑06 mai 2019, 22:05 (page 18)
De même, il est essentiel de pondérer l’intérêt de la production hydroélectrique d’un projet au
regard de la part qu’elle représente dans l’atteinte des objectifs de la politique énergétique et des
impacts qu’elle engendre. Plus la puissance et la capacité de production de l’installation sont
faibles, plus les enjeux d’intérêt général liés à la restauration des milieux (reconquête de
biodiversité aquatique, du bon état, services rendus, préventions des inondations par restauration
de la rivière, etc.) doivent primer et moins le maintien des impacts liés au seuil et à la dérivation
éventuelle du débit se justifient. Il doit être tenu compte également du fait que les très petites
puissances ne répondent pas à l’enjeu essentiel de sécurisation du réseau électrique.
Le problème de fond est pourtant bien cité une petite malheureuse fois mais c'est trop compliqué à leur niveau.En outre, les espèces migratrices amphihalines sont dans une situation difficile en raison du
changement global dont le réchauffement climatique est une composante délétère pour certains
d’entre eux comme les salmonidés. L’ajout des composantes de mortalité ou d’entrave à leur
cycle biologique doit être évité au maximum.
Je confirme les propos de Ponpon, je ne comprends pas, les Sénateurs ont abrogés la loi très certainement pour de bonnes raisons, je ne pense pas qu'à ce jour, ils fassent marche arrière ? Sans loi comment l'administration peut imposer les PAPs ?Page 13/23
Éléments de pragmatisme
Il aura lieu de tenir compte également :
- des projets d’équipement d’ouvrages existants pour la production hydroélectrique, pouvant faciliter le financement de l’intervention de restauration de la continuité écologique,
Il y a des études scientifiques qui justifient ces propos ?Page 20/23
d’autre part à la multiplication des risques de mortalité à la dévalaison des juvéniles (ou des adultes en ce qui concerne l’anguille) par un éventuel passage dans les turbines, ou dans tout autre organe hydraulique générant blessures ou mortalité. Même si les nouvelles turbines sont moins meurtrières, leur impact n’est pas nul et la multiplication des centrales reste un problème sur les axes à grands migrateurs.