Re: URGENT pétition pour sauver le moulin du Boeuf
Publié : 06 août 2013, 11:56
Bonjour
Vous trouverez quelques infos complémentaires sur le site de l'ARPOHC (nos voisins du Châtillonnais) :
http://arpohc.blogspot.fr/
En deux mots :
- le moulin est réglementé et non fondé en titre ;
- M. Gilles Bouqueton, bonne poire, a tout fait dans les règles, vérifié par l'avis d'un BE que le règlement était valable, demandé combien coûterait un raccordement, etc. puis écrit à la DDT pour lui dire qu'il souhaitait restaurer la fonctionnalité des ouvrages hydrauliques et produire une partie de son énergie ;
- la DDT envoie sur place un agent de l'ONEMA, agent notoirement connu pour son interprétation radicale des textes de loi et son peu de sympathie pour les moulins ; cet agent fait un constat de ruine, suggère que le règlement est nul, insiste sur le fait que la Seine présente de belles frayères au droit de l'ouvrage ;
- après contestation (par contre-analyse d'un BE), l'hiver dernier, nous faisons une contre-visite en présence de Me Rémy, des nos associations locales, de la DDT, de l'ONEMA et du syndicat de rivière ;
- malgré cela, le préfet casse le règlement, l'affaire est en phase de recours gracieux et passera ensuite si nécessaire au recours contentieux au TA de Dijon.
M. Bouqueton, architecte, a fourni tous les documents légaux et l'analyse par géomètre de son projet de restauration en conformité avec le règlement, a régulièrement rappelé qu'il était tout à fait disposé à satisfaire aux obligations de continuité écologique, que vu la très faible hauteur de chute (de l'ordre de 1,2 m), il choisirait très probablement un dispositif ichtyophile du genre roue à aubes, que le tronçon court-circuité est très court (de l'ordre de 150 ml) et que la restauration des vannes aboutirait à ré-alimenter en permanence (au lieu de seulement en hautes eaux) l'ancien méandre naturel de la Seine (c'est justement cette "renaturation" que cherchent les agents de l'Etat), que les voisins, le maire et la population locale soutenaient le projet, etc.
Mais voilà, la Seine est en L1-L2 à cet endroit, et certains font visiblement pression pour avoir des exemples.
Vous trouverez quelques infos complémentaires sur le site de l'ARPOHC (nos voisins du Châtillonnais) :
http://arpohc.blogspot.fr/
En deux mots :
- le moulin est réglementé et non fondé en titre ;
- M. Gilles Bouqueton, bonne poire, a tout fait dans les règles, vérifié par l'avis d'un BE que le règlement était valable, demandé combien coûterait un raccordement, etc. puis écrit à la DDT pour lui dire qu'il souhaitait restaurer la fonctionnalité des ouvrages hydrauliques et produire une partie de son énergie ;
- la DDT envoie sur place un agent de l'ONEMA, agent notoirement connu pour son interprétation radicale des textes de loi et son peu de sympathie pour les moulins ; cet agent fait un constat de ruine, suggère que le règlement est nul, insiste sur le fait que la Seine présente de belles frayères au droit de l'ouvrage ;
- après contestation (par contre-analyse d'un BE), l'hiver dernier, nous faisons une contre-visite en présence de Me Rémy, des nos associations locales, de la DDT, de l'ONEMA et du syndicat de rivière ;
- malgré cela, le préfet casse le règlement, l'affaire est en phase de recours gracieux et passera ensuite si nécessaire au recours contentieux au TA de Dijon.
M. Bouqueton, architecte, a fourni tous les documents légaux et l'analyse par géomètre de son projet de restauration en conformité avec le règlement, a régulièrement rappelé qu'il était tout à fait disposé à satisfaire aux obligations de continuité écologique, que vu la très faible hauteur de chute (de l'ordre de 1,2 m), il choisirait très probablement un dispositif ichtyophile du genre roue à aubes, que le tronçon court-circuité est très court (de l'ordre de 150 ml) et que la restauration des vannes aboutirait à ré-alimenter en permanence (au lieu de seulement en hautes eaux) l'ancien méandre naturel de la Seine (c'est justement cette "renaturation" que cherchent les agents de l'Etat), que les voisins, le maire et la population locale soutenaient le projet, etc.
Mais voilà, la Seine est en L1-L2 à cet endroit, et certains font visiblement pression pour avoir des exemples.