Alternateurs bobinés et à aimants permanents

[dB-)]

Bonsoir,

à M. Platboord : vos alternateurs PMG sont superbes, et intéressants par leur faible vitesse et l'absence de maintenance, mais ils ne sont pas facilement réalisables par n'importe quel passionné ! Reste l'achat, mais à ma connaissance, le coût d'un alternateur PMG basse vitesse (Mecc Alte, Alxion, etc...) est aujourd'hui supérieur à celui d'une génératrice asynchrone ou d'un alternateur industriel avec le multiplicateur secondaire associé. Les PMG sont une solution innovante, fiable, silencieuse et élégante pour équiper des anciens moulins avec roue, et produire quelques kW de façon fiable, mais au prix d'un investissement conséquent.

Dès que l'on veut monter en puissance, la partie coûteuse (en PMG comme en solution classique) est le multiplicateur primaire : il faut quelques dizaines ou centaines de kg d'acier pour transformer le couple monstrueux en tours minutes !

Pour équiper une petite roue de fabrication artisanale, rapide, je pense que l'on peut expérimenter rapidement et à faible coût avec un alternateur de véhicule (j'en ai acheté plusieurs d'occasion à 15 € pièce), se faire plaisir et produire ses premiers Wh, puis découvrir à l'usage les problèmes liés au multiplicateur et à la fiabilité dans le temps. Ce n'est pas une perte de temps ni d'argent, et pendant que la roue tourne et produit tant bien que mal, il est possible de réfléchir aux améliorations et d'essayer de se fabriquer son propre PMG galette.

En plus forte puissance (la plupart des moulins que je vois disposent d'anciennes turbines qui peuvent produire de 10 à 80 kW environ), on utilise chaque fois que possible une génératrice bobinée asynchrone, sinon un alternateur bobiné. Un modèle sans balais, autorégulé, de 30 kVA en 1500 tr/min coûte de l'ordre de 2500 à 5000 € (MeccAlte, Leroy somer, etc...), il est lui aussi quasiment sans entretien, et délivre une tension constante à quelques % près sur une large plage de vitesse, envoyée directement sur l'utilisation ou le secteur sans redresseur / onduleur, c'est un avantage. Problème, la vitesse d'entraînement élevée ! Mais les transmissions secondaires à courroie récentes sont quand même performantes, fiables et silencieuses.

=>> je reste très intéressé par les PMG à basse vitesse, il faudrait juste que le prix descende ! Si ce forum peut aider à faire baisser les prix en facilitant les échanges entre passionnés, et en aidant à la mise en place d'une coopérative d'achat, aucun problème, c'est sa vocation !

à Jérémie : sur la quinzaine de roues de moulin que j'ai observées ces dernières années (dont une petite roue réalisée récemment par un professionnel réputé), je crois que pas une seule ne tournait parfaitement rond : il y avait toujours soit un balourd d'un coté (par exemple parce que la roue était restée plusieurs jours arrêtée immergée), soit un léger voile, ou même une excentration, et on voyait ou entendait les phases d'accélération et ralentissement à chaque tour ! Mais ça tournait plutôt bien comme ça ! Bon, on est d'accord, tout est affaire de proportion, essayer de corriger au mieux, et voir l'autre post sur la fixation !

dB-)

[jeremie2010]

Super! Merci à tous pour ces réponses.

Je pense que je vais essayer de corriger au mieux mon problème sans pour autant tout démonter et recommencer à 0!
On verra pour la version 2.0 en métal ou bois pays (mon rêve!)!

[platbrood]

Bonsoir,

à M. Platboord : vos alternateurs PMG sont superbes, et intéressants par leur faible vitesse et l'absence de maintenance, mais ils ne sont pas facilement réalisables par n'importe quel passionné ! Reste l'achat, mais à ma connaissance, le coût d'un alternateur PMG basse vitesse (Mecc Alte, Alxion, etc...) est aujourd'hui supérieur à celui d'une génératrice asynchrone ou d'un alternateur industriel avec le multiplicateur secondaire associé. Les PMG sont une solution innovante, fiable, silencieuse et élégante pour équiper des anciens moulins avec roue, et produire quelques kW de façon fiable, mais au prix d'un investissement conséquent.

Dès que l'on veut monter en puissance, la partie coûteuse (en PMG comme en solution classique) est le multiplicateur primaire : il faut quelques dizaines ou centaines de kg d'acier pour transformer le couple monstrueux en tours minutes !

Pour équiper une petite roue de fabrication artisanale, rapide, je pense que l'on peut expérimenter rapidement et à faible coût avec un alternateur de véhicule (j'en ai acheté plusieurs d'occasion à 15 € pièce), se faire plaisir et produire ses premiers Wh, puis découvrir à l'usage les problèmes liés au multiplicateur et à la fiabilité dans le temps. Ce n'est pas une perte de temps ni d'argent, et pendant que la roue tourne et produit tant bien que mal, il est possible de réfléchir aux améliorations et d'essayer de se fabriquer son propre PMG galette.

En plus forte puissance (la plupart des moulins que je vois disposent d'anciennes turbines qui peuvent produire de 10 à 80 kW environ), on utilise chaque fois que possible une génératrice bobinée asynchrone, sinon un alternateur bobiné. Un modèle sans balais, autorégulé, de 30 kVA en 1500 tr/min coûte de l'ordre de 2500 à 5000 € (MeccAlte, Leroy somer, etc...), il est lui aussi quasiment sans entretien, et délivre une tension constante à quelques % près sur une large plage de vitesse, envoyée directement sur l'utilisation ou le secteur sans redresseur / onduleur, c'est un avantage. Problème, la vitesse d'entraînement élevée ! Mais les transmissions secondaires à courroie récentes sont quand même performantes, fiables et silencieuses.

=>> je reste très intéressé par les PMG à basse vitesse, il faudrait juste que le prix descende ! Si ce forum peut aider à faire baisser les prix en facilitant les échanges entre passionnés, et en aidant à la mise en place d'une coopérative d'achat, aucun problème, c'est sa vocation !

à Jérémie : sur la quinzaine de roues de moulin que j'ai observées ces dernières années (dont une petite roue réalisée récemment par un professionnel réputé), je crois que pas une seule ne tournait parfaitement rond : il y avait toujours soit un balourd d'un coté (par exemple parce que la roue était restée plusieurs jours arrêtée immergée), soit un léger voile, ou même une excentration, et on voyait ou entendait les phases d'accélération et ralentissement à chaque tour ! Mais ça tournait plutôt bien comme ça ! Bon, on est d'accord, tout est affaire de proportion, essayer de corriger au mieux, et voir l'autre post sur la fixation !

dB-)

centre FUTUR de bobinage de ALTER-NATIVE SA.jpg

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[platbrood]

Bonsoir,

à M. Platboord : vos alternateurs PMG sont superbes, et intéressants par leur faible vitesse et l'absence de maintenance, mais ils ne sont pas facilement réalisables par n'importe quel passionné ! Reste l'achat, mais à ma connaissance, le coût d'un alternateur PMG basse vitesse (Mecc Alte, Alxion, etc...) est aujourd'hui supérieur à celui d'une génératrice asynchrone ou d'un alternateur industriel avec le multiplicateur secondaire associé. Les PMG sont une solution innovante, fiable, silencieuse et élégante pour équiper des anciens moulins avec roue, et produire quelques kW de façon fiable, mais au prix d'un investissement conséquent.

Dès que l'on veut monter en puissance, la partie coûteuse (en PMG comme en solution classique) est le multiplicateur primaire : il faut quelques dizaines ou centaines de kg d'acier pour transformer le couple monstrueux en tours minutes !

Pour équiper une petite roue de fabrication artisanale, rapide, je pense que l'on peut expérimenter rapidement et à faible coût avec un alternateur de véhicule (j'en ai acheté plusieurs d'occasion à 15 € pièce), se faire plaisir et produire ses premiers Wh, puis découvrir à l'usage les problèmes liés au multiplicateur et à la fiabilité dans le temps. Ce n'est pas une perte de temps ni d'argent, et pendant que la roue tourne et produit tant bien que mal, il est possible de réfléchir aux améliorations et d'essayer de se fabriquer son propre PMG galette.

En plus forte puissance (la plupart des moulins que je vois disposent d'anciennes turbines qui peuvent produire de 10 à 80 kW environ), on utilise chaque fois que possible une génératrice bobinée asynchrone, sinon un alternateur bobiné. Un modèle sans balais, autorégulé, de 30 kVA en 1500 tr/min coûte de l'ordre de 2500 à 5000 € (MeccAlte, Leroy somer, etc...), il est lui aussi quasiment sans entretien, et délivre une tension constante à quelques % près sur une large plage de vitesse, envoyée directement sur l'utilisation ou le secteur sans redresseur / onduleur, c'est un avantage. Problème, la vitesse d'entraînement élevée ! Mais les transmissions secondaires à courroie récentes sont quand même performantes, fiables et silencieuses.

=>> je reste très intéressé par les PMG à basse vitesse, il faudrait juste que le prix descende ! Si ce forum peut aider à faire baisser les prix en facilitant les échanges entre passionnés, et en aidant à la mise en place d'une coopérative d'achat, aucun problème, c'est sa vocation !

à Jérémie : sur la quinzaine de roues de moulin que j'ai observées ces dernières années (dont une petite roue réalisée récemment par un professionnel réputé), je crois que pas une seule ne tournait parfaitement rond : il y avait toujours soit un balourd d'un coté (par exemple parce que la roue était restée plusieurs jours arrêtée immergée), soit un léger voile, ou même une excentration, et on voyait ou entendait les phases d'accélération et ralentissement à chaque tour ! Mais ça tournait plutôt bien comme ça ! Bon, on est d'accord, tout est affaire de proportion, essayer de corriger au mieux, et voir l'autre post sur la fixation !

dB-)

centre FUTUR de bobinage de ALTER-NATIVE SA.jpg

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[platbrood]

Bonsoir,

à M. Platboord : vos alternateurs PMG sont superbes, et intéressants par leur faible vitesse et l'absence de maintenance, mais ils ne sont pas facilement réalisables par n'importe quel passionné ! Reste l'achat, mais à ma connaissance, le coût d'un alternateur PMG basse vitesse (Mecc Alte, Alxion, etc...) est aujourd'hui supérieur à celui d'une génératrice asynchrone ou d'un alternateur industriel avec le multiplicateur secondaire associé. Les PMG sont une solution innovante, fiable, silencieuse et élégante pour équiper des anciens moulins avec roue, et produire quelques kW de façon fiable, mais au prix d'un investissement conséquent.

Dès que l'on veut monter en puissance, la partie coûteuse (en PMG comme en solution classique) est le multiplicateur primaire : il faut quelques dizaines ou centaines de kg d'acier pour transformer le couple monstrueux en tours minutes !

Pour équiper une petite roue de fabrication artisanale, rapide, je pense que l'on peut expérimenter rapidement et à faible coût avec un alternateur de véhicule (j'en ai acheté plusieurs d'occasion à 15 € pièce), se faire plaisir et produire ses premiers Wh, puis découvrir à l'usage les problèmes liés au multiplicateur et à la fiabilité dans le temps. Ce n'est pas une perte de temps ni d'argent, et pendant que la roue tourne et produit tant bien que mal, il est possible de réfléchir aux améliorations et d'essayer de se fabriquer son propre PMG galette.

En plus forte puissance (la plupart des moulins que je vois disposent d'anciennes turbines qui peuvent produire de 10 à 80 kW environ), on utilise chaque fois que possible une génératrice bobinée asynchrone, sinon un alternateur bobiné. Un modèle sans balais, autorégulé, de 30 kVA en 1500 tr/min coûte de l'ordre de 2500 à 5000 € (MeccAlte, Leroy somer, etc...), il est lui aussi quasiment sans entretien, et délivre une tension constante à quelques % près sur une large plage de vitesse, envoyée directement sur l'utilisation ou le secteur sans redresseur / onduleur, c'est un avantage. Problème, la vitesse d'entraînement élevée ! Mais les transmissions secondaires à courroie récentes sont quand même performantes, fiables et silencieuses.

=>> je reste très intéressé par les PMG à basse vitesse, il faudrait juste que le prix descende ! Si ce forum peut aider à faire baisser les prix en facilitant les échanges entre passionnés, et en aidant à la mise en place d'une coopérative d'achat, aucun problème, c'est sa vocation !

à Jérémie : sur la quinzaine de roues de moulin que j'ai observées ces dernières années (dont une petite roue réalisée récemment par un professionnel réputé), je crois que pas une seule ne tournait parfaitement rond : il y avait toujours soit un balourd d'un coté (par exemple parce que la roue était restée plusieurs jours arrêtée immergée), soit un léger voile, ou même une excentration, et on voyait ou entendait les phases d'accélération et ralentissement à chaque tour ! Mais ça tournait plutôt bien comme ça ! Bon, on est d'accord, tout est affaire de proportion, essayer de corriger au mieux, et voir l'autre post sur la fixation !

dB-)

centre FUTUR de bobinage de ALTER-NATIVE SA.jpg

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[Admin]

Bonsoir,

magnifique travail !! Tout fait main, du beau boulot, bien fignolé !

Je suppose qu'il faut un montage spécial pour insérer le stator dans le rotor, car vu la taille et le nombre d'aimants "ça doit être gourmand de viande" comme on dit quand on y laisse un bout de doigt !

Autre question : les encoches n'ont pas l'air remplies complètement, il y a une raison ?

d.Beaume

[platbrood]

Bonsoir,

magnifique travail !! Tout fait main, du beau boulot, bien fignolé !

Je suppose qu'il faut un montage spécial pour insérer le stator dans le rotor, car vu la taille et le nombre d'aimants "ça doit être gourmand de viande" comme on dit quand on y laisse un bout de doigt !

Autre question : les encoches n'ont pas l'air remplies complètement, il y a une raison ?

d.Beaume

Bonsoir Didier,
Effectivement, il faut un outillage robuste pour introduire le stator dans le rotor , à un certain moment, on a +/- 30 x 30 kgs d'attraction ; c'est une tige filetée M 16 avec centrage pour introduire délicatement sans arrachement de fils .
La fixation des aimants à la résine dans le tube est aussi délicate pour les mains.
Aprés une vingtaine d'alternateurs , on fait de mieux en mieux le travail en toute sécurité.
La photo représente la première phase et il faut encore bobiner les 2 autres, c'est la dernière la plus difficile.
Par encoche, il y a 2 x 40 fils de 0,8 m/m , c'est le maximun et je suis limité à 4 A.
Dans l'avenir, je bobinerai avec 2 voir 3 fils pour augmenter l'ampérage et je devrai tourner plus vite .
L'autre jour, dans une réunion publique avec des responsables politiques sur le thème " comment développer de l'emploi en zone rurale " en parlant de mon hobby , un député m'a dit entre 4 yeux ....c'est bien de faire de l'électricité , mais les propriètaires des moulins qui ne sont pas nécessairement mes électeurs font encore se faire beaucoup d'argent.
Si en plus , on doit lutter contre le monopole des grosses sociétés qui font l'électricité....on doit repenser à autre chose et pourquoi pas le troc du savoir faire, plus d' € , plus de TVA.....C'est pas nouveau, j'ai attendu en France qu'il y a plus de 10 monnaies différentes( abeilles ).
L'énergie est un sujet d'actualité et je compte sensibiliser un maximun de monde associatif, écoles techniques , maintenant que je sais que la conception de l'alternateur est valable.
Bonne fin d'année et que l'année 2012, nous permets d'avancer dans la restauration et la remise en route des petits moulins en produisant de l'électricité.

[platbrood]

Bonsoir,

magnifique travail !! Tout fait main, du beau boulot, bien fignolé !

Je suppose qu'il faut un montage spécial pour insérer le stator dans le rotor, car vu la taille et le nombre d'aimants "ça doit être gourmand de viande" comme on dit quand on y laisse un bout de doigt !

Autre question : les encoches n'ont pas l'air remplies complètement, il y a une raison ?

d.Beaume

Bonsoir Didier,
Effectivement, il faut un outillage robuste pour introduire le stator dans le rotor , à un certain moment, on a +/- 30 x 30 kgs d'attraction ; c'est une tige filetée M 16 avec centrage pour introduire délicatement sans arrachement de fils .
La fixation des aimants à la résine dans le tube est aussi délicate pour les mains.
Aprés une vingtaine d'alternateurs , on fait de mieux en mieux le travail en toute sécurité.
La photo représente la première phase et il faut encore bobiner les 2 autres, c'est la dernière la plus difficile.
Par encoche, il y a 2 x 40 fils de 0,8 m/m , c'est le maximun et je suis limité à 4 A.
Dans l'avenir, je bobinerai avec 2 voir 3 fils pour augmenter l'ampérage et je devrai tourner plus vite .
L'autre jour, dans une réunion publique avec des responsables politiques sur le thème " comment développer de l'emploi en zone rurale " en parlant de mon hobby , un député m'a dit entre 4 yeux ....c'est bien de faire de l'électricité , mais les propriètaires des moulins qui ne sont pas nécessairement mes électeurs font encore se faire beaucoup d'argent.
Si en plus , on doit lutter contre le monopole des grosses sociétés qui font l'électricité....on doit repenser à autre chose et pourquoi pas le troc du savoir faire, plus d' € , plus de TVA.....C'est pas nouveau, j'ai attendu en France qu'il y a plus de 10 monnaies différentes( abeilles ).
L'énergie est un sujet d'actualité et je compte sensibiliser un maximun de monde associatif, écoles techniques , maintenant que je sais que la conception de l'alternateur est valable.
Bonne fin d'année et que l'année 2012, nous permets d'avancer dans la restauration et la remise en route des petits moulins en produisant de l'électricité.

[dB-)]

Bonjour,

intéressant, on voit sur les photos toute une série de modèles différents !!

Stators plutôt allongés, ou plutôt en galette, encoches parallèles à l'axe, ou légèrement inclinées, etc ...

A poids de machine égal (même acier et même cuivre) j'ai intuitivement l'impression qu'il faudrait aller vers :

• - des alternateurs "galette", de grand diamètre et faible épaisseur, pour avoir la plus grande vitesse relative possible aimant / bobine
  - des encoches légèrement inclinées, pour "plus de douceur" de fonctionnement
  - cela limite les à coups de couple et donc les vibrations et le bruit de fonctionnement
  - et permet aussi d'obtenir une forme de tension la plus sinusoïdale possible
  - donc diminuant les distorsions harmoniques qui font plus chauffer le cuivre et l'acier que fournir des Watt en sortie

Là je suis vraiment à saturation au niveau boulot, mais dès que possible je vous contacterai pour vous acheter des tôles, demander quelques tuyaux, et essayer de bobiner moi-même une grosse galette !! Allez, au pif, disons 10 cm de large, 1 m de diamètre, 700 kg ! Ça va fumer !

Tant qu'à faire, pour gagner du poids, il faudrait supprimer tout le centre de l'alternateur, et ne garder qu'un rotor sous forme d'une couronne d'aimants, et un stator sous forme d'une couronne de bobines, avec par exemple un guidage entre les deux par des chemins de billes.

C'est ce que je regarde aussi avec mon projet N° 4 564 432 bis de turbine axiale avec générateur PMG incorporé :

Turbine Fontaine.JPG

Pas mal de problèmes technologiques à résoudre (dilatations, tolérances, assemblage, étanchéité, protection contre toutes les particules métalliques qui n'ont qu'un but dans la vie, c'est venir se coincer bêtement dans l'entrefer ...)

dB-)

[jeremie2010]

Une turbine avec pmg intégré!!! :o :o J'adore l'idée!
Quand tu as le temps tu me fais le même genre pour ma roue Poncelet ????!!!!